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Algérie : 25 terroristes en fuite condamnés à mort
ALGÉRIE - 27 février 2007 - XINHUA - Vingt-cinq terroristes en fuite ont été condamnés à mort par contumace, a rapporté mardi la presse locale.
Trois autres terroristes ont écopé une peine de 20 ans de prison,selon la même source.
Parmi ces criminels, figurent des membres d'Al-Qaïda du Maghreb islamique (ex-GSPC, principal groupe terroriste en Algérie).
La situation sécuritaire en Algérie s'est améliorée ces dernières années, bien qu'il existe encore des attentats terroristes sporadiques.
Une série de sept attentats à l'explosif avaient frappé à la mi- février le nord du pays, faisant six morts et 13 blessés.
Ces attentats sont attribués à Al-Qaïda du Maghreb islamique qui serait composé de quelque 500 éléments.
Selon le ministre d'Etat algérien et ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales Yazid Zerhouni, le nombre des actes terroristes commis sur le territoire national est de moins en moins important.
"Le recours à la bombe ou à la voiture piégée signifie que les terroristes sont en situation de faiblesse", car la pose d'une bombe à un endroit est un acte très facile, a-t-il estimé devant la presse.
A propos du changement de l'appelation de l'ex-GSPC qui a annoncé son allégeance à Al-Qaïda de Ben Laden, le ministre algérien a fait remarquer que cela "ne change en rien dans le dispositif de lutte antiterroriste mis en place".
Le terrorisme sévissait en Algérie dans les années 1990, qui a fait plus de 150 000 morts selon le bilan officiel, sans compter une perte matérielle considérable.
Trois autres terroristes ont écopé une peine de 20 ans de prison,selon la même source.
Parmi ces criminels, figurent des membres d'Al-Qaïda du Maghreb islamique (ex-GSPC, principal groupe terroriste en Algérie).
La situation sécuritaire en Algérie s'est améliorée ces dernières années, bien qu'il existe encore des attentats terroristes sporadiques.
Une série de sept attentats à l'explosif avaient frappé à la mi- février le nord du pays, faisant six morts et 13 blessés.
Ces attentats sont attribués à Al-Qaïda du Maghreb islamique qui serait composé de quelque 500 éléments.
Selon le ministre d'Etat algérien et ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales Yazid Zerhouni, le nombre des actes terroristes commis sur le territoire national est de moins en moins important.
"Le recours à la bombe ou à la voiture piégée signifie que les terroristes sont en situation de faiblesse", car la pose d'une bombe à un endroit est un acte très facile, a-t-il estimé devant la presse.
A propos du changement de l'appelation de l'ex-GSPC qui a annoncé son allégeance à Al-Qaïda de Ben Laden, le ministre algérien a fait remarquer que cela "ne change en rien dans le dispositif de lutte antiterroriste mis en place".
Le terrorisme sévissait en Algérie dans les années 1990, qui a fait plus de 150 000 morts selon le bilan officiel, sans compter une perte matérielle considérable.