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Algérie: 12 islamistes armés condamnés à la peine capitale par contumace
Douze islamistes armés ont été condamnés dimanche à la peine capitale par contumace par le tribunal criminel près la cour de Boumerdès (45km à l'est d'Alger), a-t-on appris de sources judiciaires locales.
Les douze condamnés, tous en fuite, sont poursuivis pour "constitution d'un groupe armé, tentative de meurtre avec préméditation, pose d'explosifs dans des lieux publics et destruction de biens d'autrui", a-t-on ajouté en se référant à l'arrêt de renvoi.
Tadjer Mohamed, un terroriste qualifié de "dangereux", auteur de plusieurs attentats dans la région de Boumerdès, fait partie de ces douze condamnés. Mais il serait tombé en février dernier dans une opération antiterroriste menée par les forces de sécurité à Legata, à l'est de Boumerdès. Lors de l'audience, une peine de 20 ans de réclusion criminelle par contumace a également été prononcée à l'encontre d'un homme dans une autre affaire liée à "la constitution d'un groupe terroriste".
Ces condamnations sont de pure forme, les accusés étant toujours en fuite ou abattus dans les opérations antiterroristes menées par les services de sécurité algériens. En Algérie, la peine de mort est en vigueur, mais la dernière exécution remonte à 1993, année où trois islamistes armés, auteurs d'un attentat à la bombe perpétré à l'aéroport d'Alger, ont été passés par les armes.
Les douze condamnés, tous en fuite, sont poursuivis pour "constitution d'un groupe armé, tentative de meurtre avec préméditation, pose d'explosifs dans des lieux publics et destruction de biens d'autrui", a-t-on ajouté en se référant à l'arrêt de renvoi.
Tadjer Mohamed, un terroriste qualifié de "dangereux", auteur de plusieurs attentats dans la région de Boumerdès, fait partie de ces douze condamnés. Mais il serait tombé en février dernier dans une opération antiterroriste menée par les forces de sécurité à Legata, à l'est de Boumerdès. Lors de l'audience, une peine de 20 ans de réclusion criminelle par contumace a également été prononcée à l'encontre d'un homme dans une autre affaire liée à "la constitution d'un groupe terroriste".
Ces condamnations sont de pure forme, les accusés étant toujours en fuite ou abattus dans les opérations antiterroristes menées par les services de sécurité algériens. En Algérie, la peine de mort est en vigueur, mais la dernière exécution remonte à 1993, année où trois islamistes armés, auteurs d'un attentat à la bombe perpétré à l'aéroport d'Alger, ont été passés par les armes.