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La Côte d'Ivoire ‘'rejette toute idée de l'application de la peine de mort'' (Ministre)
APA-Abidjan-(Côte d'Ivoire)
Le Garde des sceaux, ministre ivoirien de la justice, Sansan Kambilé, a soutenu, lundi, à Abidjan, que son pays ‘'rejette toute idée de l'application de la peine de mort''.
Selon le ministre, ‘'la sacralité de la personne humaine est une question chère à notre nation qui en appelle à notre conscience collective''.
‘'La Côte d'Ivoire rejette toute idée de l'application de la peine de mort'', a insisté Sansan Kambilé à la tribune du 3ème Congrès régional africain contre la peine de mort qui se déroule pour la première fois, sur le continent, à l'initiative du mouvement Ensemble contre la peine de mort (ECPM).
Sansan Kambilé a par la suite insisté sur le fait que ‘'nos politiques doivent s'engager résolument dans la mise en place d'instruments internationaux''.
La Présidente de la Commission nationale des droits de l'homme de Côte d'Ivoire (CNDH-CI), Namizata Sangaré co-organisatrice dudit événement, a précisé qu'il vise à ‘'favoriser l'engagement des leaders politiques, à encourager le dialogue l'action collective et l'émergence d'initiative de la part des acteurs de la société civile des parlementaires…''.
Des ateliers, panels et formations vont meubler ce congrès qui s'achève mardi. La peine de mort avait été abolie par la Constitution ivoirienne du 23 juillet 2000.
Le Garde des sceaux, ministre ivoirien de la justice, Sansan Kambilé, a soutenu, lundi, à Abidjan, que son pays ‘'rejette toute idée de l'application de la peine de mort''.
Selon le ministre, ‘'la sacralité de la personne humaine est une question chère à notre nation qui en appelle à notre conscience collective''.
‘'La Côte d'Ivoire rejette toute idée de l'application de la peine de mort'', a insisté Sansan Kambilé à la tribune du 3ème Congrès régional africain contre la peine de mort qui se déroule pour la première fois, sur le continent, à l'initiative du mouvement Ensemble contre la peine de mort (ECPM).
Sansan Kambilé a par la suite insisté sur le fait que ‘'nos politiques doivent s'engager résolument dans la mise en place d'instruments internationaux''.
La Présidente de la Commission nationale des droits de l'homme de Côte d'Ivoire (CNDH-CI), Namizata Sangaré co-organisatrice dudit événement, a précisé qu'il vise à ‘'favoriser l'engagement des leaders politiques, à encourager le dialogue l'action collective et l'émergence d'initiative de la part des acteurs de la société civile des parlementaires…''.
Des ateliers, panels et formations vont meubler ce congrès qui s'achève mardi. La peine de mort avait été abolie par la Constitution ivoirienne du 23 juillet 2000.
Dépêche reproduite avec l'aimable autorisation de l'APA 
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