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Le ministre de la Justice ordonne de maintenir proprement les installations d'exécution
SEOUL, 30 août (Yonhap) -- Le ministre de la Justice Han Dong-hoon a ordonné aux établissements pénitentiaires d'inspecter l'état d'entretien de leurs installations d'exécution, ont indiqué ce mercredi des sources.
Han a fait cette instruction la semaine dernière aux quatre établissements pénitentiaires abritant des centres d'exécution, notamment les centres de détention de Séoul et de Busan, ainsi que les établissements pénitentiaires de Daegu et de Daejeon, ont indiqué les sources juridiques.
Cette instruction intervient alors que la Corée du Sud a récemment connu une forte augmentation des crimes violents, notamment deux attaques à l'arme blanche dans et autour de Séoul, qui ont fait plusieurs morts.
La Corée du Sud est considérée comme pays ayant «pratiquement aboli la peine de mort», n'ayant procédé à aucune exécution depuis décembre 1997.
Han a déclaré ce mercredi lors d'une session parlementaire que gérer et entretenir les installations d'application de la loi faisait partie des tâches du ministère de la Justice tant que le pays conserve le système de la peine capitale.
A la question de savoir si une reprise des exécutions était en considération lorsqu'il a donné cet ordre, Han a répondu que c'était une question qui devait être déterminée en tenant compte de l'opinion publique et des circonstances nationales et mondiales.
Han a fait cette instruction la semaine dernière aux quatre établissements pénitentiaires abritant des centres d'exécution, notamment les centres de détention de Séoul et de Busan, ainsi que les établissements pénitentiaires de Daegu et de Daejeon, ont indiqué les sources juridiques.
Cette instruction intervient alors que la Corée du Sud a récemment connu une forte augmentation des crimes violents, notamment deux attaques à l'arme blanche dans et autour de Séoul, qui ont fait plusieurs morts.
La Corée du Sud est considérée comme pays ayant «pratiquement aboli la peine de mort», n'ayant procédé à aucune exécution depuis décembre 1997.
Han a déclaré ce mercredi lors d'une session parlementaire que gérer et entretenir les installations d'application de la loi faisait partie des tâches du ministère de la Justice tant que le pays conserve le système de la peine capitale.
A la question de savoir si une reprise des exécutions était en considération lorsqu'il a donné cet ordre, Han a répondu que c'était une question qui devait être déterminée en tenant compte de l'opinion publique et des circonstances nationales et mondiales.
Dépêche reproduite avec l'aimable autorisation de l'agence de presse Yonhap