Le Conseil des Ministres du Burkina Faso adopte un projet de loi qui réintroduirait la peine de mort pour un certain nombre d'infractions dont la haute trahison, les actes de terrorisme et les actes d'espionnage.
Le régime militaire au Burkina Faso avait annoncé en novembre 2024 son intention de rétablir la peine capitale.
Le texte va maintenant être soumis à l'Assemblée législative de transition.
La peine de mort avait été abolie pour le crimes de droit commun en 2018, lors de la promulgation d'un nouveau code pénal.