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USA: un condamné avec implant cardiaque s'est plaint de douleurs lors de son exécution
dépêche de presse du 6 août 2025 - Belga - Agence Télégraphique Belge de Presse
Pays :
Un homme équipé d'un défibrillateur cardiaque s'est plaint d'une forte douleur lors de son exécution par injection létale dans l'Etat américain du Tennessee, selon des témoins.
Byron Black, 69 ans, a été exécuté mardi pour le meurtre en 1988 de sa petite amie, Angela Clay, 29 ans et ses deux filles, Latoya, 9 ans, et Lakeisha, 6 ans.
Les avocats de Byron Black avaient demandé que son défibrillateur soit désactivé avant l'exécution, craignant qu'il le ramène à la vie lors de l'injection.
Le mois dernier, un tribunal local s'était prononcé en sa faveur mais cette décision avait ensuite été annulée par la Cour suprême du Tennessee.
Selon des journalistes présents mardi, Byron Black s'est plaint d'une forte de douleur après l'injection.
"Oh, ça fait tellement mal", a-t-il dit, selon la même source.
"Je suis vraiment désolé", a répondu son conseiller spirituel également présent, selon les journalistes.
Lors de la conférence de presse qui a suivi, des témoins ont affirmé que Byron Black semblait souffrir, mais qu'il était difficile de déterminer si cela était dû à la substance injectée ou au défibrillateur.
Au total, 28 exécutions ont été réalisées dans le pays depuis le début de l'année, soit un record depuis 2015.
23 l'ont été par injection létale, trois par inhalation d'azote, une méthode controversée utilisée pour la première fois au monde par l'Alabama en 2024 et comparée par des experts de l'ONU à une forme de "torture", et deux par peloton d'exécution.
L'Etat de Floride a mené le plus d'exécutions en 2025, soit neuf.
La peine de mort a été abolie dans 23 des 50 Etats américains. Trois autres, la Californie, l'Oregon et la Pennsylvanie, observent un moratoire des exécutions sur décision du gouverneur.
Byron Black, 69 ans, a été exécuté mardi pour le meurtre en 1988 de sa petite amie, Angela Clay, 29 ans et ses deux filles, Latoya, 9 ans, et Lakeisha, 6 ans.
Les avocats de Byron Black avaient demandé que son défibrillateur soit désactivé avant l'exécution, craignant qu'il le ramène à la vie lors de l'injection.
Le mois dernier, un tribunal local s'était prononcé en sa faveur mais cette décision avait ensuite été annulée par la Cour suprême du Tennessee.
Selon des journalistes présents mardi, Byron Black s'est plaint d'une forte de douleur après l'injection.
"Oh, ça fait tellement mal", a-t-il dit, selon la même source.
"Je suis vraiment désolé", a répondu son conseiller spirituel également présent, selon les journalistes.
Lors de la conférence de presse qui a suivi, des témoins ont affirmé que Byron Black semblait souffrir, mais qu'il était difficile de déterminer si cela était dû à la substance injectée ou au défibrillateur.
Au total, 28 exécutions ont été réalisées dans le pays depuis le début de l'année, soit un record depuis 2015.
23 l'ont été par injection létale, trois par inhalation d'azote, une méthode controversée utilisée pour la première fois au monde par l'Alabama en 2024 et comparée par des experts de l'ONU à une forme de "torture", et deux par peloton d'exécution.
L'Etat de Floride a mené le plus d'exécutions en 2025, soit neuf.
La peine de mort a été abolie dans 23 des 50 Etats américains. Trois autres, la Californie, l'Oregon et la Pennsylvanie, observent un moratoire des exécutions sur décision du gouverneur.