Jalal Labbad est exécuté en Arabie saoudite après avoir été condamné à mort pour des faits qui ont eu lieu alors qu'il avait 16 et 17 ans.
Il avait été arrêté suite à sa participation en 2011 et 2012 à des manifestations contre le traitement réservé à la minorité chiite.
Amnesty international précise qu'un de ses frères "Fadel Labbad, a été exécuté en 2019" et qu'un autre, "Mohammad Labbad, a été condamné à mort en octobre 2022 [puis] de nouveau été [...] en février 2025".
Depuis 2020 un arrêté royal saoudien interdit l'application de la peine de mort pour les accusés mineurs au moment des faits.